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One Day one my known as...

L'air frais ce filtre délicatement derrière vos oreilles pour venir chatouiller vos cheveux qui sente mille parfums. Vous restez indifférent à toute les autres personnes qui vous entoures et vous leurs en voulaient à tous même si vous ne les connaissez pas, ce sont vos ennemis. Un passé douloureux qui remonte très souvent dans la vie de l'équidé qui veut passer à autre chose. Les choses qui se sont produite ne doive pas être oublié, effacer. Car ce sont c'est choses qui nous ont construit. Il ne faut pas oublier, il faut simplement arrêter de s'en faire souffrir. Jamais ce que vous avez vécu pourra être à jamais enfoui dans votre crâne, elle remontera toujours à la surface vous fessant encore plus mal que avant. Une plaie qui s'ouvrira et que personne ne pourra refermée. C'est comme la lune qui passe devant le soleil et qui jamais ne partira. C'est le cycle de la vie. Certains souffre en silence, d'autre le montre au monde entier et d'autre font semblant pour ce faire remarquer. Il suffit juste de ne pas oublier. Car comme je l'ai dis, c'est ce qu'on a vécu qui nous rend plus fort et plus fière de nous. Car après tout, on est les maîtres de nos vie et personne ne pourra changer ça ...

Les fleurs qui fleurissent délicatement pendant le printemps seront mortes dans peu de temps avec la chaleur insupportable de l'été. Les fleurs qui auront survécu muriront à cause du froid éternel de l'automne qui sera vite viré par l'hiver encore plus froid et glacial. Leurs parfums délicats disparaîtront à tout jamais. Les papillons ne vivent seulement que 24 heures, pas plus mais moins. La pauvre abeille qui veut ce protégé pique son attaquant mais meurt dans les trois secondes qui sont suivis. Alors, que nous, certains animaux nous vivons bien plus longtemps. Certains 1 ans, d'autre 10, certains 20 et d'autre plus de 90 ans. C'est injuste mais la Terre fonctionne comme cela. Chaque plantes, chaque animal qui sont présent sur cette Terre sont essentiels aux fonctionnements de celle-ci. Chaque personne fait partie de l'écosystème si sensible. Un animal meurt et tout l'écosystème est en danger. Nous, les chevaux nous mangeons l'herbe, les pumas ou autre carnivores nous manges et eux qui les manges ? Un autre animal sois plus fort ou sois il meurt naturellement ou pas. Sommes-nous trop nombreux ? C'est la question que on ce pose... L'apocalypse arrivera un jour ou l'autre. Mais on a tous peur d'elle, car l'apocalypse sera la reine, elle est celle qui nous tuera tous. Ce sera finis, terminé mais la vie recommencera d'une façon autrement et nouvelle. Nos erreurs seront supprimées et jamais ne seront refaite. Alors, as-tu peur de la mort ? De la fin du monde ? Parce que moi oui... Je la redoute chaque jour, chaque soir et chaque secondes. Les secondes seront les dernières...

Ma crinière voletait délicatement à la douceur du vent qui la frôlait avec douceur. Mes yeux étaient ouverts surveillant chaque mouvement qu’un animal pourrait faire. Je sentais l'odeur des fleurs venir me picotais le nez et me faire tousser doucement et me faire racler la gorge. Je grattais délicatement le sol sombre l'aide de mon sabot droit. Je me sentais... faible. Parce que je n'étais qu'une pouliche. Mon corps était encore frêle et ma peur était plus grande qu’on pouvait l'imaginer. La peur de leur puissance, de leur force. Eux. Ceux qui sont comme moi mais du sexe opposé. Je n'étais pas timide au contraire avec les juments j'étais complètement existé, chieuse et etc. Alors que les étalons je tremblais de tout mon corps et ma voix dérailler parfois. Mes oreilles étaient toujours plaquer contre mon crâne ayant trop peur qu'on me surprenne. Je ne pouvais même plus vivre, la preuve. J'étais complètement terrorisé. Je lâchais un petit soufflement doux qui s'envola avec l'aide du vent. Chaque craquement que un lapin pouvait faire me faisait relevé la tête brutalement et me faire tressaillir. Ma crinière retomba brutalement contre mon encolure tachetée. Je poussais un Léger ronflement des naseaux. Ma queue en cascade j'attendais le moindre signe d'un équidé. Je captais tout les bruits qu’un animal pouvait faire, j'entendais mon cœur battre dans ma poitrine. Je reculais délicatement et je fis craquer une branche qui me fit sursauter et me fit pousser un léger hoquet de surprise. Puis, cette fois mes naseaux renifla l'air doucement et sentis l'odeur d'un cheval. Impossible de déterminer le sexe. Mâle ? Femelle ? Poulain ? Par pitié tout sauf un étalon. Je n'avais jamais de problème à me battre contre un puma puisque je ressentais une haine me provoquer, la haine d'avoir tué ma mère même si j'avais l'impression que ce n'était pas un simple félin qu'il l'avait fais. Je restais indifférente et lâchais enfin soupire d'ennuis. Un petit papillon commença à voleté autour de moi et je lui lâchai un petit sourire puis me cabrai à demi. Un petit son d'un oiseau sortis de son bec, une sorte de chant. Je souriais une nouvelle fois et inspirais l'odeur que les fleurs dégageaient pour secouer mon encolure avec délicatesse quand soudain un nouveau bruit m’interrogeait. Je me cabrais à demi et pliai doucement mes yeux pour essayer de voir quelqu'un car le soleil me rendais comme aveugle, impossible de voir la silhouette de l'équidé en question. Elle était floue. Trop flou est impossible de déterminé toujours le sexe. Embêtant puisque j’aurai aimé m'enfuir avant que l'équidé arrive vers moi, si c'était un mâle bien sûr. Mais impossible de déterminer le sexe et la taille du cheval. Un poulain mâle ne m'effrayait pas c'était plus... adulte. Puis comme-ci on m'avait mis un somnifère, je pliais doucement mes jambes et laissais ma tête tomber sur le sol chaud. Une bouffée de fatigue me prenait avec un mal de crâne affreux. Surement la chaleur. Un long frisson parcouru tout mon corps et je fermis doucement mes yeux pour me reposé à la lueur du soleil qui cognait fort sur ma robe alezane. Quand soudain, un bruit me fit ouvrir les yeux d'un seul coup et me fit lever la tête. Je secouai mon encolure pour enlever les morceaux de terre qui s'était coller et soufflais longuement des naseaux, essayant de retrouver la silhouette. Je sentais encore la présence et l'odeur du cheval mais impossible maintenant de le trouver.

Le soleil n’était pas vraiment présent aujourd’hui. Les nuages ne semblaient pas vouloir lui faire une place et ne devaient pas vraiment vouloir partager leur espace avec ce gros astre couleur du feu, celui-ci nous réchauffait, nous autre, petits points dans ce grand monde. En réfléchissant, nous n’étions rien par rapport à pleins de chose. Prenez le soleil par exemple. Il est loin, très loin de nous, mais pourtant, nous le voyons très bien de là où nous sommes, idem pour la lune ou encore même les étoiles qui sont encore plus loin. Les étoiles sont à plusieurs années lumières de nous, et pourquoi, tous les soirs, nous les voyons briller dans le ciel, certaines sont plus grosses que d’autres, on peut supposer que les plus grosse sont plus prêtes de nous, et que les plus petits se trouvent plus loin, à quelques années lumières de plus que les plus grosses. Mais quand on prend un cheval. Tiens, prenons la jeune jument alezane qui marche avec élégance dans ce champs de fleurs, je vous pari que même sur la lune, on ne la voit pas. Vous comprenez comme nous ne sommes rien ici, sur cette Terre où nous vivons entassés. Bon assez parler d’astronomie !

Cheyenne marchait avec élégance et beauté dans cet immense champ de fleurs. Elle semblait plutôt heureuse d’être ici, bien elle avait conscience qu’elle n’était rien, juste un petit point sur une feuille de papier, même pas. Mais ça ne l’empêchait pas de vivre chaque seconde à font, on ne sait pas quand la vie s’arrêtera. Elle peut se terminer dans deux minutes comme elle peut se finir dans dix, vingt ou peut être même tente ans. En tout cas, c’est à ça que pensait la jeune alezane. Elle marchait sans trop regarder là où elle mettait les sabots. Son instinct la guidait et elle lui faisait confiance. Elle ne savait pas où elle allait et ni pourquoi elle y allait, mais ça n’avait aucune importance. Ce qui comptait c’était de suivre son destin, et c’est ce qu’elle faisait. Soudain, malgré sa demi absence sur Terre, elle aperçu une silhouette. Cette silhouette était sans aucun doute celle d’un équidé, alors, la jument prit le petit trot en direction de l’équidé en question. Elle s’approcha doucement mais surement. Soudain, elle perdit la silhouette de vue. Mais elle continua d’avancer, droit devant elle. A un moment, elle la revit, elle était allongée par terre, elle ne semblait pas en forme. Cheyenne s’approcha donc un peu plus vite de l’autre équidé, elle se rendit vite compte que c’était une jument. Quand elle arriva au niveau de l’équidé allongé, elle baissa l’encolure et fit sur un ton rassurant et plutôt protecteur :

« Vous n’avez pas l’air en forme. Restez allongée, je vais veillez sur vous si vous le souhaitez. Je me nomme Cheyenne. »